Et voilà la suite de ma boîte de DOOM, le jeu de plateau, seconde édition (plutôt long comme nom de jeu… m’enfin). Dans le premier article, j’ai présenté les humanoïdes, regardons aujourd’hui les démons.
En commençant par les Cacodémons, ces grosses boules flottantes dans le jeu, astucieusement positionnés ici sur des petites pattes, qui donne pourtant cette impression de flotter au dessus du sol. Très amusants à peindre, avec toutes ces dents et ces cornes, qui tranchent bien sur le fond rouge de la peau ; et toujours cet œil vert dont j’use et abuse dans bien d’autres peintures.
Ensuite vinrent les Pinky (pinkies ?), pour lesquelles j’ai du “bricoler” une teinte rose, n’en ayant pas en stock. Je ne me rappelle pas bien du mélange utilisé, sinon qu’il a été passé à l’aérographe, la peau rouge ayant été ensuite peinte au pinceau et à l’aide de Contrast Blood Angel Red. Les petites excroissances en vert ressortent bien et donnent un aspect magique (ou démoniaque) à ces créatures.
Puis vinrent probablement les figurines que j’ai pris le plus plaisir à peindre dans cette boîte : les Mancubus, deux grosse bestioles avec des canons à la place des bras. Toujours les mêmes recettes que les autres figurines, avec ces plaques osseuses, une sorte d’armure et le bleu des canons repris de celui que j’utilise pour les réacteurs dorsaux par exemple. Ce qui m’a amené à peindre en bleu aussi les câbles d’alimentation visibles ici et là.
Et j’approche de la fin avec les deux Barons Infernaux, archétypes du démon, reprenant tous les cliché de l’imaginaire démoniaque : cornes, pattes de chèvres… Je les ai bien entendu peints en rouge, les cornes en noir orangé. Je suis en revanche moins satisfait des plaques d’armures. Je voulais éviter de refaire encore les plaques couleur os… et le résultat n’est pas très heureux. Mais je m’en contente, elles sont noyées dans la masse des figurines du jeu.
Et le clou du spectacle, le Cyberdémon, celui que j’ai peint en dernier et qui fut très pénible à peindre. Probablement plus par lassitude au bout d’un mois intense de peinture que de la figurine elle-même. Quoiqu’elle soit moins détaillée qu’elle laisse paraître, amenant à beaucoup interpréter la figurine, notamment les transitions entre la peau et les plaques osseuses. Au final, je suis tout de même bien content de l’avoir peinte et terminer ainsi la boîte.
Voilà qui termine mes articles sur la peinture de cette boîte de jeu. Il est vrai qu’il est tellement plus intéressant de jouer avec des figurines peintes que couleur plastique !
À bientôt pour de nouveaux showcases.
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