Et je tiens mon pégase…

Je ne le lâche pas,
Je l’ai monté à cru,
Il est aussi sauvage que je suis devenu,
Après avoir appris l’alphabet pourrissant,
Des grands calculateurs,
A hauteur d’escabeau,
A ras des certitudes établies,
A quoi bon ?!

J’avais monté ce pégase avec tout un lot de figurines de la 4e édition de Dungeons & Lasers et elle attendait dans une boîte une bonne occasion de sortir. L’occasion fut donnée par le défi de septembre 2023 du forum OMM.

J’ai rapidement créé un socle, avec volonté de surélever la figurine, qui est bien petite comme la plupart des figurines de chez D&L. Comme d’habitude, le gros rocher est un bout d’écorce de pin.

Pour renforcer le côté maléfique, j’ai ajouté quelques crânes et racines, ça fait toujours son effet.

Pour la peinture, après avoir sous-couché en noir, j’ai attaqué par plusieurs brossages à sec, puis par des glacis de Contrast. Je ne me rappelle plus précisément les teintes utilisées, j’aurais dû les noter sur le moment. Il y avait du Shyish Purple, c’est sûr 🙂

Pour les ailes, j’ai repris la recette de la robe des chevaux spectraux de mes Hantes-nuits. Recette que je maîtrise maintenant et qui est assez facile à mettre en œuvre… et qui a un côté malsain très adapté au thème de ce pégase.

Concernant le socle, j’ai volontairement fait quelque chose de très simple et terne, comme si le pégase avait stérilisé son environnement. J’ai donc limité les jus de vert(s) et les couleurs saturées, pour rester sur des gris et bruns.

Je n’ai encore aucune idée de comment utiliser ce pégase en jeu… au moins, il trône dans la vitrine maintenant.

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